|
1 mois |
Year-to-date |
Annualisé jusqu’au au trimestre le plus récent |
|||
---|---|---|---|---|---|---|
|
EUR |
USD |
EUR |
USD |
EUR |
USD |
Fonds |
0.1 |
-1.2 |
1.7 |
-1.6 |
1.7 |
-1.6 |
Indice de référence |
3.5 |
2.2 |
14.7 |
11.3 |
14.7 |
11.3 |
Actions
7 min de lecture 6 août 24
Le mélange de la baisse de l’inflation à la consommation et la résurgence du parti républicain aux États-Unis ont catalysé un revirement fulgurant des marchés boursiers.
La baisse de 6 % de l’indice des semi-conducteurs le 17 juillet n’a fait que ramener l’indice à son niveau des quelques jours précédents, mais la rapidité de la correction et l’évolution correspondante des prix dans d’autres segments du marché ont ravivé le débat sur le changement de régime. Les petites capitalisations ont connu leur meilleure performance hebdomadaire par rapport au S&P 500 depuis 1988. Toutefois, même si ce phénomène s’avère éphémère, il rappelle aux investisseurs la nécessité permanente de gestion du risque et de diversification.
Depuis octobre dernier, le réflexe en matière de placements en actions a été d’acheter des produits indiciels passifs bon marché. Une bonne idée quand les choses vont bien. Bien entendu, l’inverse est vrai lorsque les marchés corrigent. Comme on l’entend dire parfois, si l’ascension se fait en douceur, la descente peut être brutale.
De notre point de vue, les arguments en faveur d’un changement de régime sont solides. Le leadership étroit des valeurs technologiques américaines, relativement chères, semble de plus en plus instable dans un monde où le protectionnisme, la démondialisation, la volatilité de l’inflation et les largesses budgétaires risquent de s’intensifier.
Après 18 mois difficiles, nous pensons que le sort du fonds M&G (Lux) Global Listed Infrastructure Fund est sur le point de changer. Cette stratégie offre diversification, duration et dividendes. Elle sous-pondère les « monopoles » technologiques – en effet, elle ne détient aucune des « Sept Magnifiques », ces positions acheteuses désormais plébiscitées par le consensus que sont Microsoft, Apple, Nvidia, Alphabet, Amazon, Meta et Tesla. Elle surpondère, en revanche, les « monopoles » adossés à des actifs physiques qui, selon nous, sont bien moins vulnérables aux changements et aux perturbations induits par l’innovation.
Des milliers de colonnes ont été consacrées à la plateforme d’intelligence artificielle Apple Intelligence et à la question de savoir si son développement entraînera ou non un cycle de montée en gamme de l’iPhone. Mais en parallèle, les exploitants d’aéroports, les concessionnaires de routes à péage et les gestionnaires de réseaux électriques, moins médiatisés, font état d’un trafic et d’une demande de services records. Sous le radar, nos positions développent leurs bénéfices et leurs dividendes.
La nature intrinsèque des infrastructures est sans doute mal valorisée par les marchés financiers, malgré les bouleversements géopolitiques et macroéconomiques qui exerceront une pression de plus en plus forte sur les réseaux physiques et numériques en manque de capitaux depuis des années.
Le fonds M&G (Lux) Global Listed Infrastructure Fund a été conçu selon une approche spécifique qui le différencie de ses pairs. Son portefeuille se compose d’un assortiment d’infrastructures économiques traditionnelles (transports, services aux collectivités, énergie), de structures sociales et civiques (universités, écoles, hôpitaux) et d’infrastructures évolutives autour des réseaux numériques de communication de données, des paiements financiers et des centres de données.
Les activités à redevances – une classe d’actifs souvent mal comprise et négligée, qui semble adaptée aux circonstances économiques actuelles – font partie de la catégorie « évolutive » du fonds. Ces sociétés détiennent le droit de percevoir des revenus provenant des actifs issus des minéraux qu’elles contrôlent sur leurs terrains. Ce sont des activités adossées à des actifs, mais dont la structure des actifs est légère, puisqu’elles ne supportent aucun coût d’exploitation ni aucun risque lié à l’activité d’extraction.
Le renforcement de la sécurité énergétique, la volonté de décarbonation et les efforts visant à reconstruire l’industrie manufacturière nationale feront probablement des matières premières une exposition essentielle pour les portefeuilles. Prairiesky Royalty et Franco Nevada sont les deux entreprises à redevances du fonds M&G (Lux) Global Listed Infrastructure Fund qui offrent un mélange diversifié d’expositions aux actifs tangibles, du pétrole et du gaz aux diamants et du cuivre à l’or.
Le pic historique atteint récemment par le cours de l’or traduit les inquiétudes suscitées par l’inflation, l’instabilité géopolitique et la volatilité macroéconomique. Le fonds M&G (Lux) Global Listed Infrastructure Fund a tendance à bien se comporter en période d’incertitude, en raison, selon nous, de la stabilité des modèles économiques composant le portefeuille et de sa capacité à augmenter les distributions de dividendes aux actionnaires en compensation du phénomène d’érosion induit par l’inflation.
Il offre actuellement un rendement en dividendes supérieur à 4 %, avec une croissance historique de 5 à 10 % par an et, pour nous, il a le potentiel de bénéficier de la réévaluation des prix des actifs sous-jacents si les rendements obligataires diminuent.
Les performances passées ne prejugent pas des performances futures.
|
1 mois |
Year-to-date |
Annualisé jusqu’au au trimestre le plus récent |
|||
---|---|---|---|---|---|---|
|
EUR |
USD |
EUR |
USD |
EUR |
USD |
Fonds |
0.1 |
-1.2 |
1.7 |
-1.6 |
1.7 |
-1.6 |
Indice de référence |
3.5 |
2.2 |
14.7 |
11.3 |
14.7 |
11.3 |
Performances (%) |
2023 |
2022 |
2021 |
2020 |
2019 |
2018 |
2017 |
2016 |
2015 |
2014 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
EUR A Acc |
0.4 |
-3.7 |
22.3 |
-6.3 |
36.7 |
-1.7 |
N/A |
N/A |
N/A |
N/A |
Indice de référence1 |
18.1 |
-13.0 |
27.5 |
6.7 |
28.9 |
-4.4 |
N/A |
N/A |
N/A |
N/A |
USD A Acc |
4.2 |
-9.2 |
12.8 |
2.4 |
34.1 |
-6.1 |
N/A |
N/A |
N/A |
N/A |
Indice de référence1 |
22.2 |
-18.4 |
18.5 |
16.3 |
26.6 |
-9.0 |
N/A |
N/A |
N/A |
N/A |
L’indice de référence est utilisé à des fins de comparaison de manière à mesurer la performance du fonds. Il s’agit d’un indice « Net Return » (« performance nette ») qui inclut les dividendes après déduction des impôts retenus à la source. L’indice a été choisi comme indice de référence du fonds car il reflète le mieux le champ d’action de la politique d’investissement du fonds. L’indice de référence est utilisé uniquement pour mesurer la performance du fonds et ne limite en rien la construction du portefeuille du fonds.
Le fonds est activement géré. Le gérant a toute liberté pour choisir les investissements à acheter, à conserver et à vendre au sein du portefeuille. Les positions du fonds peuvent considérablement différer des constituants de l’indice de référence. L’indice de référence utilisé n’est pas un indice de référence ESG et n’intègre donc ni les critères ESG, ni les critères de durabilité.
Source : Morningstar Inc., au 30 Juin 2024. Performances nettes des parts de capitalisation de catégorie A en EUR et en USD, revenus réinvestis et calculées de VL à VL. Les performances de l’indice de référence sont exprimées dans la devise de la catégorie de parts.
Le fonds vise à générer à la fois une croissance du capital et des revenus supérieurs à ceux du marché des titres internationaux sur toute période de cinq années consécutives tout en appliquant les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) et les critères de durabilité du fonds, et à augmenter d’année en année le flux de revenu en USD. Pour ce faire, le fonds cherche à investir au moins 80 % de ses actifs dans des actions émises par des sociétés d’infrastructure, des sociétés d’investissement et des sociétés civiles de placement immobilier de toutes tailles et de tout pays, y compris de pays émergents. Le fonds détient généralement des actions de moins de 50 sociétés. Par sociétés d’infrastructure, on entend des entreprises des secteurs suivants : services publics, énergie, transports, santé, éducation, sécurité, communications et transactions. Les aspects liés aux critères ESG et à la durabilité sont intégrés au processus d’investissement.
Le fonds investit dans des titres qui répondent aux critères ESG, en appliquant une approche d’exclusion et en procédant à des investissements alignés sur les ODD, comme décrit dans le prospectus. La période de détention recommandée du fonds est de cinq ans.