Obligations à haut rendement à taux variable en 2025 : Garder son calme et maintenir le cap

10 min de lecture 10 janv. 25

  • Les marchés des obligations à taux variable à haut rendement ont fait preuve d’une solidité remarquable au cours d’une année 2024 politiquement volatile, sans doute encouragés par un environnement macroéconomique favorable et l’humeur clémente des banques centrales sur le plan des taux d’intérêt.
  • Notre scénario central pour 2025 est celui d’un atterrissage en douceur de l’économie, assorti d’un cycle de baisse des taux relativement modéré et de fondamentaux d’entreprise robustes. Peut-être plus significatif encore, en l’absence de choc macroéconomique majeur, nous pensons que 2025 pourrait être « l’année du portage ».
  • Au cours de la décennie d’existence de la stratégie, l’expertise et les connaissances de l’équipe ont considérablement progressé. Nous adoptons une approche prudente de la gestion du portefeuille, en mettant l’accent sur l’amélioration de la liquidité et la réduction de la volatilité des rendements pour les investisseurs.

Faire preuve de résilience dans une année 2024 volatile

L’année qui s’est achevée a été marquée par une volatilité géopolitique extraordinaire. Outre la guerre de la Russie en Ukraine et les conflits au Moyen-Orient, la France et l’Allemagne se sont retrouvées sans gouvernement après des motions de censure votées au parlement, déclenchés par des mesures impopulaires visant à tenter de réduire les déficits budgétaires. Aux États-Unis, la victoire de Donald Trump aux élections présidentielles a surpris une nouvelle fois de nombreux observateurs du marché.   

Les marchés obligataires ont accueilli ces événements avec sérénité, faisant preuve d’une robustesse notable, sans doute encouragés par un environnement macroéconomique favorable et l’humeur clémente des banques centrales sur le plan des taux d’intérêt. Cependant, après la victoire de Donald Trump, les prévisions de baisse des taux d’intérêt américains ont été revues à la baisse, le taux final étant désormais escompté à un niveau supérieur à 3,7 %. La perte subie par les obligations du Trésor américain lors des élections américaines nous rappelle le risque de détenir isolément des actifs à duration à un moment où les prévisions relatives aux taux d’intérêt restent extrêmement volatiles. (cf. Graphique 1)

Graphique 1 : Les prévisions de baisse des taux ont reculé après la victoire de Donald Trump, ce qui a pesé sur les prix des bons du Trésor américain

Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.

Fuente: Bloomberg, 28 de noviembre de 2024.

La valeur et les revenus générés par l’actif du fonds fluctueront à la hausse comme à la baisse. Ainsi, la valeur de votre investissement pourra aussi bien baisser qu’augmenter. Rien ne garantit que le fonds atteindra son objectif et il est possible que vous ne récupériez pas la totalité de votre investissement initial. 

Les emprunts d’État ont été dans une certaine mesure plombés par l’incertitude politique et la hausse de la dette publique (le ratio dette/PIB des États-Unis a atteint 123 % en 2024, selon les données budgétaires du Trésor américain en novembre 2024), ce qui a entraîné des pertes pour certains investisseurs en dette à long terme. D’un autre côté, les obligations d’entreprises à haut rendement (HY) ont fait figure d’un des actifs les plus résistants au cours de l'année. Sur ce segment, les obligations à taux variable à haut rendement ont enregistré une nouvelle année de forte performance.  

Leur absence de duration (sensibilité aux variations des taux d’intérêt) et leurs revenus solides (résultat de leurs coupons variables liés aux taux de référence à court terme) ont permis aux obligations à taux variable à haut rendement d’enregistrer une année sans aucun mois de rendement négatif (jusqu’à fin novembre 2024) pour la première fois dans l’histoire de la classe d’actifs. 

Comme l’illustre le graphique 2 ci-dessous, le marché mondial des obligations à taux variable à haut rendement a enregistré une performance presque similaire à celle du marché à haut rendement traditionnel, mais avec une volatilité plus faible, offrant une trajectoire de rendement plus fluide aux investisseurs. 

Graphique 2 : Les marchés mondiaux du haut rendement ont affiché des rendements robustes depuis le début de l’année

Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.

Source : Indices ICE BofA, 30 novembre 2024. La performance de l’indice est présentée couverte à 100 % en USD. Les informations présentées peuvent évoluer et ne garantissent pas les performances futures. Haut rendement mondial : Indice ICE BofA Global High Yield. Obligations à haut rendement à taux variable mondiales : Indice ICE BofA Global Floating Rate High Yield 3% Constrained (couvert en USD). Haut rendement américain : Indice ICE BofA US High Yield. Haut rendement européen : Indice ICE BofA European High Yield.

Perspectives pour 2025 : garder son calme et maintenir le cap

Depuis le début de l’année (à fin novembre 2024 selon les données de Bloomberg), les obligations à taux variable à haut rendement internationales ont généré des rendements de plus de 9,0 % en USD/7,5 % en EUR, confirmant ainsi nos prévisions d’il y a un an.

En ce qui concerne les 12 prochains mois, si nous partons du principe que notre scénario central est un atterrissage en douceur, la classe d’actifs est à nouveau susceptible d’enregistrer de solides performances (voir le carré vert dans le graphique 3, au verso). Dans le cadre de ce scénario, même si les indicateurs d’endettement et de charge d’intérêts peuvent se détériorer légèrement, les fondamentaux à haut rendement resteraient solides et les émetteurs de haut rendement pourraient bénéficier de la baisse des taux d’intérêt. 

Le portage1, la faiblesse attendue des taux de défaut et la relative robustesse des bilans des entreprises seront les principaux déterminants de ces performances. Il est intéressant de noter (en haut à droite du Graphique 3 (au verso) que les obligations à haut rendement à taux variable pourraient se révéler relativement résistantes dans des scénarios plus défavorables impliquant un élargissement plus marqué des spreads.

Graphique 3 : Comment la stratégie est-elle susceptible de se comporter durant les 12 prochains mois ?

A titre d’illustration uniquement. Ce tableau n'a pas pour but de fournir des prévisions relatives aux performances, rendements et spreads dans le futur. Analyse du portefeuille basée sur une période de détention d'un an, partant de l'hypothèse d'un portefeuille statique et d'évolutions analogues des courbes de taux, et excluant toute exposition aux actions. L'analyse prend également pour hypothèse que les fluctuations des taux et/ou des spreads ne sont que des chocs ponctuels. Hypothèse d’un taux de défaut de 3 % avec un recouvrement moyen de 60 % pour le marché du haut rendement à taux variable et de 30 % pour le marché mondial du haut rendement à taux fixe. Source : M&G, ICE BofA, 27 novembre 2024. 

La devise de référence du fonds est le dollar américain. Les investisseurs des classes d’actions libellées en euros seront exposés aux variations des taux d’intérêt de la zone euro, quelles que soient les devises sous-jacentes dans lesquelles le portefeuille est investi, en raison de la couverture des devises et du principe de parité des taux d’intérêt couverte (CIRP) - le principe de marché qui sous-tend la couverture des devises et les taux d’intérêt. Selon la CIRP, les taux de change croisés cotés sur les marchés à terme doivent refléter les variations des taux d’intérêt entre les deux devises au cours de cette même période, afin d’éviter les possibilités d’arbitrage et les gains illimités sans risque sur les marchés.

Plus généralement, nous pensons que 2025 devrait être une autre année positive pour les marchés du haut rendement, même si les rendements seront probablement davantage induits par le portage. Alors que les spreads de crédit sont actuellement proches de la limite inférieure de leur fourchette, les rendements globaux des obligations à haut rendement restent plus élevés qu’ils ne l’ont été au cours des années précédentes. En termes historiques, le rendement a été un bon indicateur des performances futures et, avec des rendements actuels aux alentours de 5 à 7 %, nous pensons qu’il existe encore toute latitude pour que la classe d’actifs génère des rendements raisonnables en 2025.  

Un autre facteur favorable potentiel apparaît lorsqu’on examine de plus près les niveaux récents de nouvelles émissions (voir le graphique 4, au verso). Si l’activité relative aux émissions brutes a été relativement similaire à celle que nous avons connue au cours des 15 dernières années, la majeure partie de celle-ci provient d’entreprises cherchant à refinancer de manière proactive leurs passifs existants. En conséquence, les émissions nettes (c’est-à-dire les émissions brutes moins les rachats au cours de la même période) ont été plus faibles ces dernières années. 

Dans le même temps, le marché du haut rendement élargi continue de se contracter, car un montant croissant de capitaux a afflué vers d’autres segments des marchés financiers à effet de levier (c’est-à-dire les émetteurs à la recherche de capitaux sur le marché des prêts à effet de levier ou du crédit privé). Cela, associé aux faibles niveaux de nouvelles émissions et au besoin continu de revenus, crée un déséquilibre entre l’offre et la demande qui pourrait, selon nous, doper puissamment la classe d’actifs à l’horizon 2025. 

Graphique 4 : Une forte demande et une baisse des émissions nettes

Source : Bank of America, Barclays, au 28 novembre 2024

Enfin, malgré l’incertitude macroéconomique et politique, les performances économiques récentes ont témoigné d’une solidité continue, les bénéfices des entreprises et les dépenses de consommation restant robustes dans une large mesure face aux taux d’intérêt élevés. Il convient de noter que le ratio de couverture des taux d’intérêt (qui mesure la capacité d’une entreprise à rembourser sa dette), bien qu’en diminution à mesure que les entreprises se refinancent à des taux plus élevés, reste bien supérieur aux niveaux auxquels les analystes s’inquiéteraient généralement de la capacité de paiement des entreprises.

Notre scénario central reste celui d’un cycle de défaut modéré (ce qui se traduirait par un taux de défaut mondial d’environ 3 à 4 %), en cohérence avec un atterrissage économique en douceur. Cela est également confirmé par la diminution des niveaux de détresse du marché (voir le Graphique 5), qui est généralement un bon indicateur avancé de l’activité de défaut au cours des 12 à 18 prochains mois. 

Graphique 5 : Cycles de défaut du segment à haut rendement américain et européen ; le ratio des émetteurs en difficulté tend à précéder les cycles de défaut

Source : ICE BofA, au 30 novembre 2024. Le taux de défaut est calculé comme suit : le taux de défaut pondéré par la valeur nominale des 12 derniers mois. La notion de « difficulté » est définie comme suit : un spread > 1 000 pb. Les informations présentées peuvent évoluer et ne garantissent pas les performances futures.

Selon nous, un cycle de défaut modéré ne serait pas trop dommageable pour le secteur des entreprises. Toutefois, si les taux de défaut augmentent de manière plus agressive, le fait que les obligations à taux variable à haut rendement soient généralement classés comme des titres garantis par un emprunt de premier rang dans la structure du capital d’une entreprise, avec des possibilités de recouvrement plus élevées, peut contribuer à atténuer la baisse du capital.

En résumé, même avec une croissance modérée, nous parions sur des rendements raisonnables de la part de la classe d’actifs en 2025, compte tenu de la puissance du portage, de la faiblesse attendue des taux de défaut, de la relative robustesse des bilans d’entreprise et de la volatilité en berne des taux.

Tirer parti de l’expérience de notre équipe

Les investissements passifs ont rapidement gagné en popularité au cours des dernières années. Pour autant, nous sommes convaincus qu’il existe d’excellentes raisons pour lesquelles il est essentiel d’opter pour une gestion active afin d’investir dans le haut rendement. Cela est particulièrement vrai dans l’environnement actuel où l’incertitude quant à l’évolution future des taux d’intérêt et de l’inflation continue d’accroître la volatilité au sein des marchés..

L’équipe en charge du haut rendement de M&G s’est étoffée au cours des dix années qui ont suivi le lancement de la stratégie. Aujourd’hui, elle gère plus de 15 milliards de dollars américains au travers de stratégies à haut rendement, de stratégies flexibles et de mandats dédiés. Notre équipe de gestion de fonds à haut rendement possède en moyenne 20 ans d’expérience dans l’investissement sur les marchés à haut rendement.

Notre présence mondiale s’est également considérablement élargie au cours des dernières années. Nos gérants de fonds travaillent avec l’une des équipes d’analyse crédit parmi les plus importantes et les plus expérimentées au monde, comprenant plus de 50 analystes spécialisés par secteur et basés à Londres, Chicago et Singapour.

Cette présence mondiale signifie que, sur le segment du haut rendement nous couvrons 98 % des marchés européens, 80 % des marchés américains et environ 50 % des marchés asiatiques*. Nous sommes convaincus que notre grande expérience de l’investissement, conjuguée à ces ressources mondiales en matière de recherche, nous permet d’identifier et de tirer profit d’anomalies de valorisation au sein de l’ensemble de l’univers à haut rendement international.

Nous adoptons une approche prudente de la gestion du portefeuille, en mettant l’accent sur l’amélioration de la liquidité et la réduction de la volatilité des rendements pour les investisseurs. Notre processus repose sur une analyse crédit « bottom-up » approfondie des émetteurs et des émissions, et notre approche consiste à éviter les parties les plus en difficulté et les plus volatiles du marché.

*50 % de l’indice représentatif JACI, qui compte actuellement environ 555 émetteurs, incluant les segments Investment Grade et High Yield.

Description et positionnement du Fonds2

Le Fonds vise l’appréciation du capital et des revenus de sorte à générer une performance qui soit supérieure à celle du marché mondial des obligations à taux variable à haut rendement (mesuré par l’indice ICE BofA Global Floating Rate High Yield (3% constrained) couvert en USD) sur toute période de cinq ans. 

Le fonds est composé à hauteur d’au moins 70 % d’obligations à haut rendement à taux variable et privilégie les obligations à taux variable émises par des entreprises du segment du haut rendement et qui versent généralement des taux d’intérêt plus élevés afin de rémunérer les investisseurs pour le plus grand risque de défaut. Le fonds peut également investir dans d'autres actifs obligataires tels que les emprunts d'État. L’exposition aux différents actifs prend principalement la forme de positions sur des titres physiques. Des produits dérivés peuvent également être utilisés. 

Le fonds vise à générer un rendement actif grâce à la sélection des titres de crédit tout en préservant un profil de liquidité amélioré et en évitant les inconvénients plus pernicieux d’un cycle de défaut dur, en étant bien diversifié et positionné de manière plus conservatrice que son indice de référence.

Actuellement, nous avons la plus forte exposition aux actifs physiques de l’histoire de la stratégie, car nous pensons que la valorisation des OTV HY physiques est plus gratifiante. En outre, un marché primaire actif a continué à offrir des opportunités de bloquer des primes de spread supplémentaires, tout en étoffant la diversification du portefeuille.

La plupart des produits dérivés sont utilisés à des fins de gestion de la liquidité. Nous avons investi environ 10 % du fonds dans l’indice CDX High Yield, un indice financier composé de « credit default swaps » (CDS) émis par des sociétés nord-américaines. Les indices CDS sont généralement des instruments très liquides, qui peuvent également offrir des avantages de diversification supplémentaires à un portefeuille.

Sur le front sectoriel, le fonds est positionné de manière plus conservatrice que l’indice de référence, avec une sous-pondération stratégique des secteurs à bêta élevé (plus cycliques) et en difficulté afin de chercher à préserver un profil de volatilité inférieur à celui de l’indice de référence.

Pour l’heure, nous sous-pondérons activement des secteurs comme les services financiers, où divers émetteurs sont toujours confrontés à des problèmes de refinancement, ou le secteur bancaire, où les obligations émises ne sont généralement pas des actifs garantis de premier rang.

Un aperçu rapide de la performance du fonds

Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.

Performance du fonds

Performance (%) Mensuel  Depuis le 01.01.24 jusqu’au dernier trimestre  Depuis le début de l’année
Fonds (part A-H Acc en EUR) 0,6 4,7 6,0
Indice de référence (EUR)* 0,7 6,3 7,5
Fonds (part A Acc en USD) 0,7 6,0 7,5
Indice de référence (USD)* 0,8 7,5 9,1
Performance (%, par an) 2014 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021 2022 2023
Fonds (part A-H Acc en EUR) Sans objet -0,4 6,5 1,6 -2,6 4,3 -0,8 4,5 -3,3 11,4
Benchmark (EUR)* 2,1 -0,7 11,1 2,7 -1,3 6,8 2,0 6,6 -2,2 13,5
Fund USD A Acc N/A 0,1 7,8 3,7 0,2 7,4 1,0 5,4 -1,1 13,7
Benchmark (USD)* 2,2 -0,2 12,7 4,8 1,5 10,0 3,6 7,4 0,0 15,8

*Indice de reference : ICE BofA Global Floating Rate High Yield Index (3% constrained) USD Hedged Index. Pour la part EUR, l’indice de référence avant le 1 avril 2016 est le ICE BofA Global Floating Rate High Yield (EUR Hedged) Index. Par la suite, il s’agit de ICE BofA Global Floating Rate High Yield 3% Constrained (EUR Hedged) Index. Pour la part USD, l’indice de référence avant le 1 avril 2016 est le ICE BofA Global Floating Rate High Yield (USD Hedged) Index. Par la suite, il s’agit de ICE BofA Global Floating Rate High Yield 3% Constrained (USD Hedged) Index.

L’indice de référence est un élément de comparaison par rapport auquel la performance du fonds peut être étalonnée. L’indice a été choisi en tant qu’indice de référence du fonds, car il reflète au mieux la portée de la politique d’investissement du fonds. L’indice de référence sert uniquement à mesurer la performance du fonds et ne limite pas la constitution de son portefeuille. 

Le fonds fait l’objet d’une gestion active. Le gestionnaire d’investissement peut choisir, à son entière discrétion, les titres à acquérir, détenir et vendre dans le fonds. La composition du fonds peut différer de manière significative de la composition de l’indice de référence.

Source : Morningstar, Inc et M&G, au 30 novembre 2024. Les performances sont calculées de valeur liquidative à valeur liquidative, nettes de frais et revenus réinvestis. Les performances des indices de référence sont respectivement exprimées en EUR et en USD. Les performances ne tiennent pas compte des commissions et des frais susceptibles d’être imputés au moment de la souscription ou du rachat de parts. Toutes les catégories de parts peuvent ne pas être toutes autorisées à la commercialisation dans tous les pays. Veuillez vous référez au prospectus pour de plus amples informations.

Principaux risques liés au fonds

  • La valeur et les revenus générés par l’actif du fonds fluctueront à la hausse comme à la baisse. Ainsi, la valeur de votre investissement pourra aussi bien baisser qu’augmenter. Rien ne garantit que le fonds atteindra son objectif et il est possible que vous ne récupériez pas la totalité de votre investissement initial.
  • Les investissements en obligations sont influencés par les taux d’intérêt, l’inflation et les notations de crédit. Il est possible que les émetteurs d’obligations ne paient pas d’intérêts ou ne remboursent pas de capital. Tous ces événements peuvent diminuer la valeur des obligations détenues par le fonds.
  • Les obligations à haut rendement comportent généralement un risque plus élevé que les émetteurs d’obligations ne soient pas en mesure de payer les intérêts ou de rembourser le capital.
  • Le fonds peut utiliser des instruments dérivés pour profiter d’une hausse ou d’une baisse attendue de la valeur d’un actif. Si la valeur de l’actif varie de façon inattendue, le fonds subira une perte. L’utilisation d’instruments dérivés par le fonds peut être importante et dépasser la valeur de son actif (effet de levier). Cela a pour effet d’agrandir l’ampleur des pertes et des gains, ce qui entraîne de plus grandes fluctuations dans la valeur du fonds.
  • Investir dans les marchés émergents comporte un risque de perte plus élevé en raison, entre autres facteurs, de risques politiques, fiscaux, économiques, de change, de liquidité et réglementaires plus élevés. Il peut être difficile d’acheter, de vendre, de conserver ou d’évaluer des investissements dans ces pays.
  • Le fonds est exposé à différentes devises. Des produits dérivés sont utilisés pour minimiser, mais pas toujours éliminer, l’impact des fluctuations de change.
  • Le processus de couverture vise à minimiser, mais ne peut éliminer l’effet des fluctuations de change sur la performance de la catégorie d’actions couverte. Les opérations de couverture limitent également la possibilité de profiter des fluctuations favorables des taux de change.

Une description plus détaillée des risques auxquels le fonds est exposé est incluse dans le Prospectus du fonds.

Il est également important de noter que:

Veuillez noter que l’investissement dans ce fonds signifie l’acquisition de parts ou d’actions dans un fonds et non dans un actif sous-jacent donné tel que un immeuble ou les actions d’une société dans la mesure ou il s’agit uniquement des actifs sous-jacents détenus par le fonds.

Pour plus d’informations sur les termes financiers utilisés dans ce document, veuillez vous référer au glossaire sur notre site : https://www.mandg.com/investments/professional-investor/fr-fr/glossaire

Les opinions exprimées dans le présent document ne sauraient en aucun cas constituer des recommandations, des conseils ou des prévisions.

1Ici, le portage fait référence au revenu perçu par les détenteurs d’obligations à partir des paiements de coupons réguliers.
2Source de toutes les données de positionnement : M&G, au 30 novembre 2024. 
Rédigé par James Tomlins, Stefan Isaacs, Lu Yu – Fund managers

La valeur des investissements peut fluctuer et ainsi faire baisser ou augmenter la valeur liquidative des fonds. Vous pouvez donc ne pas récupérer votre placement d'origine.

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